par Chloé
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Mon fantasme de femme : La taille du pénis

La petite rouquine et les pénis


« Petite rousse pulpeuse, j’en avais connu plusieurs, des amants, avant de rencontrer Mehdi. Nous nous sommes découverts sur un site de rencontre que je côtoyais fréquemment. Après quelques chats coquins sur le net, il m’a invitée dans un restaurant, près de mon quartier. Au moment du dessert, je lui ai proposé de passer « boire un dernier verre » chez moi. Il me plaisait vraiment ! Alors que nous avions commencé à nous bécoter gentiment sur mon canapé, j’ai passé ma main sur son entrejambe à la recherche de sa braguette.

Il s’est levé brutalement en s’exclamant, gêné : « Euh, tu es sûr de vouloir faire ça ? Ce n’est que notre premier rendez-vous ! ». Je n’en revenais pas. J’en avais connu des mecs, et même plusieurs via des sites de rencontre… mais c’était le premier qui ne voulait pas coucher avec moi !

« Je ne te plais pas ? » C’était la seule explication à laquelle je m’étais résolue.

Il est devenu tout rouge, d’un coup. Il m’a serré très fort dans ses bras et m’a expliqué que non, bien au contraire, je lui plaisais énormément. Il n’avait juste pas envie de me faire peur. Il avait une grosse bite. « Ca en effraie certaines… » s’est-il excusé, tout penaud.

J’ai ri. Je n’avais jamais entendu quelqu’un se plaindre de « sa grosse bite » auparavant. Comme il a eu l’air de se vexer, je lui ai dit qu’à force de parler du loup, j’avais très envie de le voir ! Il a baissé son pantalon et son caleçon d’un geste. Une énorme queue a jailli d’un coup en pointant vers moi. Il bandait déjà. Au delà de sa taille, elle était surtout très grosse, comme une canette de soda. Elle était parcourue de longues veines gonflées.

Je l’ai branlé et sucé. C’est ma bouche qui bougeait sur son sexe, lui n’osait ni m’appuyer sur la tête, ni bouger son bassin, de peur de m’étouffer. Au bout de quelques minutes ma mâchoire me faisait un peu mal, j’ai décidé de passer à autre chose. J’ai retiré mon jean et lui ai fait enfiler un préservatif. « On va voir ce qu’on va voir ! ». Il a introduit quelques doigts en moi pour bien me dilater. Nous avons mis une bonne dose de lubrifiant sur sa bite toute dure et je me suis enfilée sur lui. J’étais au-dessus, lui, allongé sur mon canapé. J’ai bien dû mettre quelques minutes avant qu’il n’entre entièrement, mais finalement, j’ai réussi. J’ai ressenti une légère douleur, à l’entrée de mon vagin, mais au bout de quelques allers-retours, elle s’est entièrement dissipée et je commençais à vraiment prendre mon pied ! Quelques minutes plus tard, il a joui en moi en me pressant les seins.

Après avoir dormis l’un contre l’autre, nous avons réessayé le lendemain matin au réveil. J’avais encore un peu mal à l’intérieur, alors je me suis contentée de le masturber.

Nous sommes restés deux mois ensemble, puis nous nous sommes séparés. Ce n’était pas à cause de sa « grosse queue » mais à cause d’Eric, mon nouveau voisin de palier.

Mais ça c’est une autre histoire… »



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