par Chloé
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Mon fantasme de femme : Faire l'amour dans un lieu insolite

La Fellation, selon Chloé


La pipe, la turlute, le pompier, la gâterie…. Chloé maîtrise à la perfection le langage de la fellation. « Ces mots savoureux décrivent bien selon moi le côté goûteux que peut avoir la chose. Mais ce qui m’a longtemps dérangée dans cette affaire, c’est que j’avais la certitude que les femmes étaient plus mal servies que les hommes. Ce sujet m’a pas mal préoccupée et on peut dire que je me suis pas mal penchée sur le sujet à titre personnel ou en en parlant avec mes copines. Pour moi, au début de ma sexualité, je voyais la fellation comme un truc hyper facile à faire, imparable pour réveiller un homme même le plus mal disposé à accomplir la chose. Au fil des ans, je me suis rendue que ce n’était pas toujours aussi simple. Passée la spontanéité des premières relations, c’est vite devenue une contrainte pour moi à cause de son côté donnant-donnant. La plupart de mes partenaires me faisaient le chantage du genre : « une pipe d’abord sinon pas de sexe ! » ; et le pire, c’est que je n’osais pas leur refuser cette gâterie tant j’avais peur de passer pour une coincée. Mon dernier copain en date adorait regarder des films pornos très basiques avec beaucoup de gros plans de bites énormes en train de se faire astiquer. Je ne sais pas si c’est parce qu’il était un peu complexé par la taille de la sienne, en tout cas, ce genre de trucs le fascinait. «  Suce-moi ! » A la fin de notre relation, nos plans culs ne se résumaient plus qu’à cela. J’avais honte, je me sentais sale.

 

Puis, j’ai rencontré Philippe au boulot. On a commencé à se parler à la cantine et on s’est découverts plein de sujets communs. Nos collègues font des petits sourires en coin en nous voyant car ils s’imaginent qu’on est passés à l’acte. En fait, on a simplement un peu flirtés comme des ados. Un soir, lors d’un « afterwork », j’étais assise près de lui dans la pénombre, un peu à l’écart. On a commencé à se tripoter et je lui ai longuement caressé le sexe au travers de son pantalon. C’était devenu chaud, on avait complètement oubliés où nous étions. Heureusement qu’une copine nous a fait arrêter à temps. Sinon… Depuis, je ne l’ai pas revu car il est parti en congés puis en stage. J’ai pas eu de nouvelles directement car il n’avait pas mon adresse. J’ai appris qu’il devait revenir dans la boîte mais dans un autre service. On peut dire que depuis cette soirée, je n’ai cessé de fantasmer toutes les nuits sur lui.

 

J’imagine son corps dans les moindres détails, je revis en permanence la fameuse scène et m’imagine en train de le déshabiller et de lui prodiguer la pipe du siècle. Dans mon rêve, j’arrive même à sentir l’odeur de son corps, de son sexe, de son sperme. Je me vois en train de lui caresser longuement la poitrine puis je déboutonne lentement sa braguette, caressant son sexe au travers du slip. Je le vois émergé soudain, énorme, délicatement violacé avec , au bout du gland, une exquise liqueur. Là, le film se met au ralenti. Je bascule doucement ma tête et me mets à sucer le tout goulûment. Sa queue est tellement grosse que ma main a du mal à l’enserrer. De l’autre, je lui caresse doucement les boules qu’il a douces et fermes. Je les sens pleines à craquer. Ma langue se promène le long du frein que je sens délicatement palpiter. Je suis la courbe délicate de son pénis, descend et remonte le long de ce délicieux cornet à déguster. Lui s’abandonne totalement. Entrevoir son visage grimacer de plaisir et entendre sa respiration haletante me font l’effet d’une caresse intime. Nos deux jouissances sont au diapason. Rien que ça et me voilà excitée comme une folle. Je me réveille en sueur, les draps trempés et j’ai même ressenti des orgasmes pendant mon sommeil. Maintenant, je ne vais pas tarder à savoir si la réalité correspond à mon rêve. J’avoue que j’angoisse un peu. »

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