par Mérédith
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Mon fantasme de femme : Le fétichisme

La Fessée, selon Mérédith


Mérédith culpabilise « « Je ne regarde pratiquement que du porno hétéro mainstream, des films à des années lumières de mes valeurs féministes. Je me sens en porte-à-faux. »

Ce n’est pas pour autant qu’elle a modéré sa consommation. « Le porno fit même partie intégrante de ma vie.  C’est souvent mal fait, le scénario réduit au maximum : des bites, des chattes, des éjaculations. » Mérédith avoue de forts penchants homosexuels même si elle n’est pas encore passée à l’acte.

« Ce qui m’excite surtout, ce sont les rapports de domination dans le porno et principalement la fessée.  En fait, ce qui m’émoustille le plus, ce  sont les scènes totalement à l’opposé de mes valeurs féministes. En gros, j’aime beaucoup quand les filles sont très soumises et quoi de plus symbolique que de voir une bonne scène de fessée J’adore les trucs du genre un mec a l’air assez pervers et la fille est par exemple plaquée sur une table, les fesses en l’air, pendant qu’il  l’inspecte en faisant des commentaires salaces. Autres variantes : une nana dans un gang bang, violée, ou encore attachée par une laisse dans la rue. Le type la promène, elle a le cul à l’air, il la baise parfois et invite des mecs à faire de même, en public.

Je me souviens avec délice des fessées de ma petite enfance. Ma mère avait pris l’habitude de me donner tous les soirs de petites tapes sur les fesses pour m’endormir. C’était délicieux. Je crois que c’est de cette époque que date ma vénération pour les fesses, surtout les miennes. Pour moi, la fessée n’a jamais été synonyme de punition mais plutôt vécue comme une invitation au plaisir.. J’adore cette partie de mon corps, elle m’émeut. Plus âgée, je me suis mise à l’équitation : au trot ou au galop, quel bonheur ! même le tape-cul ne me rebutait pas. Mon premier amoureux était fou de mes fesses. J’ai mis un peu de temps à lui faire comprendre qu’elles aimaient recevoir de temps en temps une bonne claque.. Il ne comprenait pas qu’être ainsi soumise, cela me faisait mouiller ma culotte, que mater des scènes bdsm, cela stimulait bien ma libido. Pour me faire plaisir, il m’administrait de petites tapettes. On a fini par se séparer. J’aime vraiment pas les mecs trop gentils ; pour moi, ils sont mous du gland. Avec Victor, dès le départ, on s’est bien compris et on a instauré un super rapport autour de la fessée. Pour lui, me donner la fessée, c’est comme un don érotique. Il préfère la correction à main nue car il aime sentir mes chairs frémir. Avec mes fesses, il a mis au point une véritable partition musicale où il alterne caresse et claques, le tout entrecoupé de pauses. Je sens progressivement mes fesses rougir et à la fin de la séance j’ai le derrière en feu. Je songe aux paroles de ma mère qui me disait toujours : « Tu as le feu au derrière ». Elle ne croyait pas si bien dire ! Elle qui me reprochait de toujours me promener les fesses à l’air, elle ne serait pas déçue du spectacle : la tête baissée, les fesses bien en l’air, je m’offre ainsi toute entière et c’est divin. Mon copain m’a surprise plus d’une fois en train de me fouetter devant la glace. Il a compris le spankling n’avait pas de secret pour moi. Pendant que je me fouette, je me dis : « Alors, mon cul, c’est du poulet ! » et ça m’excite et me fais rire. Mon fantasme serait maintenant d’inverser les rôles avec mon copain. Je l’imagine à cheval sur mes genoux, les testicules coincées entre mes cuisses et je fouette, fouette. Au fur et à mesure de la fessée, je vois son érection qui augmente. J’ai tâté le terrain, j’ai l’impression qu’il ne serait pas opposé à inverser les rôles. »

 


 

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