- par Déborha
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Au bureau avec mon patron
Bonjour, je m’appelle Déborha, j’ai 29 ans et je vais vous raconter ce qui m’est arrivé au boulot. Tout d’abord je vais me décrire, je suis brune, grande 1m69 assez fine, j’ai des seins très mignons (qui ne tombe pas) et j’ai des yeux bleus. Je suis plutôt jolie, et tous les mecs me matent. Je suis souvent habillé en tailleur car je suis secrétaire de direction dans une grosse boite de transport. Je vais me confesser car j’ai fauté avec mon patron. J’ai honte, mais j’ai passé un si agréable moment que je ne le regrette pas. Mon mari n’est pas au courant, et je ne veux pas lui dire.
Mon patron a la quarantaine, il est brun grisonnant de taille moyenne, légèrement dégarni, et un charme fou. Il est très autoritaire, mais très correct et très sympathique. Je vais donc vous raconter comment j’ai basculé et comment j’ai trompé mon mari avec mon boss.
Un soir vers 18h45, a la sortie d’une réunion super chiante avec mon patron et des clients, mon patron m’appel et me demande de venir dans son bureau pour finaliser directement ce nouveau contrat. Je peste, car moi je voulais rentrer a la maison et je pensait ma journée fini. Mais bon, il faut bien faire son devoir et je me suis donc retrouvé dans son bureau.
On a commencé a travailler, cela a durer ¼ d’heure, puis je me suis penché sur son bureau pour attraper un document, et là j’ai senti ses mains autour de ma taille. Je l’ai regardé et je lui ai dit d’un ton sec « vous faite quoi là ? », il m’a alors répondu « ben, j’ai envie de toi !». J’ai été prise d’un désir violent et je suis devenue toute rouge. Je ne savais plus comment faire, comment résister. Il a alors commencé a me peloter les fesses et a passer l’une de ses mains sur mes seins. J’étais toujours dos a lui, il me tenait par derrière et je sentais son sexe grossir contre ma jupe. J’ai perdu la tête et je n’étais plus dans le monde réel, ma honte s’envolait et ne laissait place qu’au désir. J’en avais envie ! Il commença a déboutonné ma veste de tailleur, et baissa ma jupe, il enleva ma culotte et la fit glisser sur mes bas. Je ruisselais de plaisir et de désir. Il dégrafa sa braguette et sortie son sexe, puis il me l’enfonça avec force dans mon intimité ! Son sexe était énorme, bien plus gros que celui de mon mari. Cela me procura un plaisir si intense que j’ai eu mon premier orgasme a peine pénétré ! Il commença a me labourer très rapidement et sèchement. Il me mettait des coups de boutoir si fort que je jouissais et mouillais comme jamais, il faut dire que mon mari est un homme très doux et qu’il ne me prend jamais très sauvagement, ce qui est bien dommage. Les mains de mon patron me pétrissaient les fesses avec force pendant que sa verge épaisse me défoncé la chatte. Je poussais de petits cris de jouissance, car j’essayais tant bien que mal de ravaler mes jouissances. Il me chevauchait avec fougue et sauvagement, puis il s’arrêta et passa en mode très lent, il enfonça alors dans mon petit trou un de ses doigts, moi qui suis d’habitude réticente a ce genre de chose, je l’ai laissé faire. Je n’avais jamais pratiqué la sodomie au paravent, mais là je ne pouvais pas me refuser a lui, la jouissance était trop intense. Son doigt me lubrifiant et m’élargissait mon trou du cul pendant que sa grosse queue allait doucement dans mon intimité mouillée. Puis il metta le bout de son gland a l’ouverture de mon cul et enfonça tout doucement sa bite colossale dans mon anus. J’eu un orgasme violent ! J’avais honte, car mon mari m’a demandé et insisté mille fois pour m’enculer et je ne l’ai jamais accepté, et là ce mec m’encule sans me le demander, je le laisse faire et en plus je jouis encore plus que par-devant. Il m’enculait sauvagement, je ne sentais plus mon cul ! Je jouissait à répétition. Puis d’un coup, il me retourna me mit a genoux et me baisa la bouche. Sa queue avait le goût de mon cul ! et je jouissais comme rare ! D’un coup il déchargea son foutre épais et brûlant sur ma langue et dans ma gorge. Je jouissais et je lui suçait la bite avec avidité. Je léchais son nectar salé et brûlant. Sa bite ramollissait dans ma bouche, mais son gland restait bien gonflé. Je ne voulais plus sortir sa grosse bite de ma bouche.
Il me releva et me demanda si j’avais aimé, je n’ai pas pu lui répondre.
Je suis rentré chez moi, mon mari a voulu couché avec moi, mais je lui ai tourné le dos et je me suis endormi. Je n’avais vraiment pas envie de coucher avec lui ce soir-là.
Je n’ai plus jamais recouché avec mon patron, mais j’en garde un souvenir fou. Nos relations n’ont pas changé, il fait comme si que rien ne s’était passé, mais je rêve qu’il me reprennent sauvagement et qu’il m’encule encore.
Déborha, Paris 8ème.
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