par Sandra
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Mon fantasme de femme : Faire l'amour dans un lieu insolite

Sandra et ses endroits idylliques


En haut d’un gratte-ciel, dans la cabine d’un yacht ou le dressing d’une villa de luxe, Sandra n’a pas encore réalisé son fantasme mais il en rêve beaucoup. Pour elle, pas question de lieux communs, elle ne s’imagine que dans des endroits idylliques.  « J’ai l’impression que ma libido est en berne, ces derniers temps, pour la réveiller, je lis beaucoup de romans érotiques et je me mets dans la peau des héroïnes. C’est fou toutes les aventures qu’elles vivent. Et les endroits les plus insolites sont des refuges ou des prétextes pour faire l’amour,  de façon torride bien sûr. Je suis très romantique, j’apprécie que ces histoires se déroulent dans des paysages magnifiques et réunissent des gens superbes. Beaux, riches,  intelligents, tout ce qui m’attire et me sort de ma routine. Je m’imagine comme l’héroïne du dernier livre rouge que j’ai lu, sauvageusement prise par le beau cavalier, brillant homme d’affaires à ses heures, dans le haras de son château. Ou bien encore, délicieusement assaillie dans le jacuzzi d’un hôtel de luxe. Pour que mon fantasme aboutisse, j’ai besoin de m’imaginer dans un cadre exceptionnel entourée de gens qui le sont tout autant. Je fuis tout ce qui est banal. Il me semble que l’amour sauvage et passionné auquel je rêve ne peut s’épanouir que sur ce terrain-là. Chez moi, la boîte à fantasmes marche à plein gomme d’autant plus que mon quotidien est difficile ou hasardeux. Ma mère lisait beaucoup de romans-photos. Cela l’aidait à supporter sa misère disait-elle. Moi, je me les fabrique à partir des livres à l’eau de rose (assez pimentée toutefois !) que je dévore. Un des mes fantasmes favoris en ce moment. « Je me retrouve coincée pendant toute une nuit avec le patron de la multi-nationale pour laquelle je travaille dans un des ascenseurs du gratte-ciel où se trouvent ses bureaux. Nous nous retrouvons bloqués au 25e étage (sans téléphone bien entendu, il faut faire durer le plaisir ! ).  Confrontés à cette situation d’extrême exiguïté, la situation devient vite intenable. En tentant d’escalader l’ascenseur, il se blesse à une jambe et ne peut quasiment plus bouger. Par chance,  j’ai passé un diplôme de secourisme, ce qui me permet de lui administrer les premiers soins. Nous avons de plus en plus chauds et sommes obligés de nous dévêtir progressivement. La tension érotique devient palpable. Je suis depuis le début sous le charme mais lui va rapidement tombé sous le mien. Nos gestes deviennent plus explicites et nous passons à une étreinte torride ; d’autant plus intense que les secours s’affairent - nous les entendons se rapproche – et que notre excitation est décuplée par la peur d’être pris en flagrant délire. Un véritable délice !. Ce fantasme me procure une jouissance intense et mon âme de sauveteuse y trouve son compte. Mais cela m’étonne par ailleurs car j’ai toujours été claustrophobe et redoute donc particulièrement les endroits confinés comme les ascenseurs. Je ne comprends pas ce qui me fait à ce point adhérer à ce fantasme. Et puis, ce côté exhbitionniste ne me ressemble pas, moi qui est toujours peur de sortir de la norme.  Peut-être est-ce là une façon de conjurer la peur de m’engager et d’accepter la relation à l’autre ? C’est en tout cas ce qu’affirme la psy qui me suit. »

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